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Sujet Communautaire > PréTalk & Fusibles: de l'essentiel à l'indispensable...


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Je ne fais que faire suivre une info sur laquelle je tombe,les auteurs sont  2 psychiatres (je sais c'est pas un bon argument mais c'est pas ma faute s'ils ont choisi ce métier )  qui ont un bon bagage d'hypnose.

Après tu en fais ce que tu veux de cette information, fais tes expériences, forme toi tes croyances.

Si les suggestions négative paradoxale font partie de la boîte à outils des hypno ce n'est pas pour rien. 

Erickson avait compris qu'avec une personne en opposition il était plus facile de lui interdire de faire quelque pour avoir le comportement souhaité. 

Et pour des enfants en bas âge il est intéressant de les autoriser à bouger, parler, crier pour avoir le calme. 

L'autre jour j'ai eu (pas en hypnothérapie) mais dans mon taf d'audioprothésiste un petit loup (4 ans) qui est arrivé en colère pour différentes raisons, je lui ai dit: "tu as le droit d'être en colère et profite de ta colère autant que tu veux". En moins d'une minute il était calme. 

Mais bon avec ironie tout ça ce n'est que ma croyances qui se forme au fil de mes expériences ;)

Après tout qu'est-ce que l'hypnose ? 

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Le ton de la voix, l'intonation plus que les mots jouent un rôle la dedans.  La même phrase (une négation , ou l'exemple de la colère chez les enfants), dit de manière différentes auront des résultats différents (d'après ce que je constate). 

 

Le. Passage du livre que tu cites ne prouve rien, c'est encore des exemple  et pourtant j'ai déjà utiliser la négation et la phrase a été interpréter avec succès  ( dans des cas précis )

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  • 6 years later...

Bonjour à tous !

 

De mon côté le prétalk c’est toujours le même, je demande comment la personne voit l’hypnose et je reformule, en rajoutant du saupoudrage. Si les croyances sont limitantes, je rassure la personne et j’enchaîne sur le fait que l’inconscient nous protège en utilisant une confusion utilisée par Kévin de l’ARCHE, que je reformules et que j’amène à la suite de « ton inconsistance te protège, par exemple quand tu te sens observé, tu ressens une sensation étrange. Bien ça c’est ton inconscient qui te protège. Mais il ne te le dis pas, comme ça tu le sais et tu l’anticipes. Parce que quand tu le sais, tu remarques ce qu’il va se passer avant même. Surtout si tu y es attentif. Parce que plus tu le sais, plus tu as une façon de ressentir les choses qui a tendance à venir en confrontation avec l’autre et du coup ça fait un peu deux poids deux mesures ». 
 

En général on me dit « tu m’as perdu… » et je t’attaque sur des suggestions simples. 

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La confusion qui servirait à "rassurer" me paraît un peu aléatoire. Personnellement, si on me confusionne, cela me créé un mécanisme de défense plus grand encore. Quand tout est clair, limpide et bien cadré, je peux me laisser aller dans le lâcher prise très sereinement.

 

Peut-être à tenir compte ?

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Il y a 1 heure, Jean-Emmanuel a dit :

La confusion qui servirait à "rassurer" me paraît un peu aléatoire. Personnellement, si on me confusionne, cela me créé un mécanisme de défense plus grand encore. Quand tout est clair, limpide et bien cadré, je peux me laisser aller dans le lâcher prise très sereinement.

 

Peut-être à tenir compte ?


 

En fait je rassure quand il y a besoin avant en expliquant les transes quotidiennes etc.


Je commence par une suggestion indirecte avec du saupoudrage « Toi en général quand… tu commences à te détendre… tu commences à te détendre…. Par où en premier ? La nuque ou les mains ? » et « Quand … tu commences à t’endormir…. Tu commences à t’endormir… sur le dos ou sur le ventre… ? » « Quand ça s’amplifie, que… Tu as commencé à te détendre… ta tête commence à pencher en avant…. Où elle commence à pencher en arrière »


Et quand je calibre et voit que le sujet est prêt, je confusionne un peu avant d’attaquer une suggestion simple « Maintenant tu sens que ta tête commence à pencher vers l’avant… (ou l’arrière selon la réponse du sujet) »

 

Et après c’est parti. J’ai essayé cette technique sur des gens qui m’ont dit qu’ils ne croyait pas à l’hypnose, ça a nettement mieux marché. 
 

Quand ils croient à l’hypnose dès le début, je fais un pretalk rapide, sans confusion, et go !

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Tant que ça fonctionne et que ça reste respectueux, pas de soucis !

 

Pour les personnes qui ne croient pas à l'hypnose, souvent ils ne croient pas en l'image qu'ils se font de l'hypnose. Qui d'ailleurs est totalement fausse la plupart du temps.

Le plus simple reste de leur demander de rentrer dans un état d'esprit d'ouverture et de curiosité pour jouer et s'amuser.

 

On peut utiliser des métaphores et des sous-modalités pour les aider à se concentrer sur l'aspect ludique des phénomènes idéomoteurs par exemple.

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